La PEUR
S’appuyer sur la peur est le meilleur moyen de conduire les gens à renoncer à leurs libertés.
« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maitre de leurs âmes », disait Machiavel. Plus on met les gens dans un état de peur, plus ils acceptent de se soumettre à l’autorité censée les protéger. Et plus ont fait durer cet état, plus ils s’habituent à être contrôlés.
Il convient donc de saisir toutes les opportunités qui se présentent dans l’actualité pour instiller des peurs et ainsi rendre un peuple demandeur d’une autorité et d’une fermeté nouvelles. Et lorsque celles-ci se mettent en place, il convient de les maintenir le plus longtemps possibles pour habituer les esprits, jusqu’à ce qu’elles semblent normales, naturelles. La privation de libertés se fait alors au nom de l’intérêt général. Ce que chacun peut bien comprendre et accepter.
On obtient ainsi une soumission douce, sans recourir à lz violence physique. La violence est bien là, mais elle est seulement morale, psychologique.
Noam Chomsky disait : « La manipulation est aux démocraties ce que la matraque est aux régimes totalitaires ».
Ce texte, je l’ai extrait d’un roman qui se nomme « Le Réveil » de Laurent Gounelle (2022) et qui conclu en disant : « C’est en découvrant des vérités parfois dissimulées au grand jour, que l’on peut se réapproprier sa liberté ».
Certes, certains diront : Ce n’est que du complotisme ! Un peu trop facile ! Nous, le Européens, nous nous étions endormis dans un sentiment de tranquillité pour ne pas dire de béatitude. Il y avait bien eu, il y a longtemps déjà, le principe de précaution érigé en dogme. Mais nous nous étions habitués à toutes ces menaces en forme d’interdictions. Même le réchauffement climatique ne put vraiment nous inquiéter. Il suffisait de voir le faible score des partis écologiques…
La trouvaille ce fut le corona, un virus venu de l’on ne sait où et se diffusant à la vitesse de la lumière.
Puis ce furent les vaccins faisant trembler la moitié de la planète et bientôt réapparut le spectre de la guerre avec ces cohortes de misères nous menaçants de manquer de tout : Le gaz, le blé, le pétrole et, pour en rajouter un couche, la menace d’entrainer le monde dans un affrontement nucléaire (Ceci venant de pays qui nous avaient déjà envoyé un nuage atomique s’arrêtant fort heureusement aux frontières de notre pays).
Je conclurais à la manière du poète François Villon : « Frères humains qui après nous vivrez, je ne sais pas quelles seront vos peurs à venir ? Mais garder toujours le courage de vivre »
Louis-René Theurot