COMMANDO COBRA

Auteur : Général R.GAGET

Editeur : Garnier

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Nous avons retenu, pour vous, les phrases ci-dessous :

Page 12 :  Août 1958 : Chacun pouvait dès cet instant comprendre que nous allions vers une Algérie nouvelle intimement liée à la Métropole, sans qu’elle soit pour autant totalement gérée, conduite et gouvernée par les seuls Européens partisans farouches de l’intégration.

Le 23 Octobre le général de GAULLE donne à Paris une conférence de presse au cours de laquelle il renouvelle son appel  à « La Paix des Braves ».

Page 13 : Entre le discours de Mostaganem et la conférence de presse d’octobre il y avait, certes une évolution très nette du destin de l’Algérie, mais qui pouvait raisonnablement penser, au point où en étaient les choses fin 1958, que nous pourrions sans risque d’irréparables erreurs appliquer dans ce pays les mêmes lois, les mêmes règles et les mêmes statuts que dans la Métropole, si tous ses habitants ne le souhaitaient pas ?

D’ailleurs le plan du général Challe ralliait tous les suffrages …le commandant en chef voulait :

  • Désengager les militaires des actions de pacification et les remplacer par des civils.
  • Alléger dès que possible les charges de quadrillage des secteurs.

Page 39 : P.C. de NAHAIA… la « mechta » (1)

                Mechta : Petite maison arabe en pierre et ciment ou pisé.

Page 118 : Une nouvelle tournée des popotes.

Bien renseigné sur l’état d’esprit régnant dans l’armée et sans doute poussée par ses conseillers, le général de GAULLE décide d’entreprendre une nouvelle tournée des popotes en Algérie. Du 3 au 7 mars ? Il va se rendre dans diverses unités de l’Algérois et du Constantinois afin de conforter les officiers dans leur mission et d’apaiser leurs craintes quant à l’imminence d’un référendum au sujet de l’auto-détermination annoncé en septembre.

C’est au cours de ce voyage que le général de GAULLE précise ce qu’il souhaite pour l’avenir de ce pays.

Page 231 : L’un d’eux est armé d’un P.M. 40, il se dit chef de groupe mais n’a pas beaucoup envie de se battre. Il nous tend volontiers son arme et répond aux questions que nous lui posons.

Page 261 : C’est donc là, très tôt dans la matinée du 22 avril, que j’écoute à la radio le premier message du général CHALLE, lancé d’Alger :

          « L’armée s’est assurée le contrôle du territoire algéro-saharien. L’opération s’est déroulée selon le plan prévu et sans un coup de feu ».

Page 277 : C’est encore et toujours le renseignement qui est la base de toute action de guerre réussie.

Page 279 : Les pourparlers d’Evian.

Le 20 mai, comme prévu, les négociations ont repris à Evian, mais cette fois la qualité des interlocuteurs choisis indique de part et d’autre une réelle volonté d’aboutir.

Page 290 : Tard dans la soirée le DJOUNOUD, assoiffé, affamé, épuisé, bousculé, finit par craquer et nous révèle que le MERKEZ zonal se trouve dans le GARET EL DJERBOUA, zone particulièrement creusée de la hamada, à 20 km à l’ouest de SIDI HADJ ED DINE.

                                                          Que veut dire : MERKEZ ? ? ?

Page 300 :  Dans son rapport du 10 août 1961 « Georges » concluait ainsi : « l’opération a été bien montée, bien exécutée et l’exploitation souple et habile du renseignement a été déterminante.

Page 314 : Il n’y a plus de KATIBA agissant en bloc mais de petits groupes assez mal armés et de postes militaires que l’O.P.A. réinstalle au fur et à mesure que nous les détruisons. Le F.L.N. cherche à durer, car le temps travaille pour lui.

Page 368 : Très vite COBRA se dota d’un commando constitué de HARKIS auxquels se joignirent des anciens rebelles « retournés » par GEORGES. Leur connaissance de la langue, du pays et des habitudes des FELLOUSES était souvent l’atout décisif qui nous permettait un engagement à coup sur et l’exploitation immédiate des renseignements de prisonniers complétant le plus souvent nos succès initiaux.